De gauche à droite: Hugues Kone, Dr Susan, FaustinYaho, Mr Wenern, Directeur Technique UNFPA Bureau New York CP: Zaïna KereKere |
La Conférence Internationale sur la Planification Familiale a été à la fois une tribune d’évaluation du bilan des pays qui ont souscrit aux objectifs du millénaire pour le développement et un espace de laboratoire où un nombre important des stratégies d’interventions ont été réajusté. Mais pendant ce temps, la garantie du succès des prochaines actions ou interventions arrêtées, dépend de l’ingéniosité et de la détermination des décideurs politiques de chaque pays ou état.
Si le gouvernement Éthiopien a réussi en moins de cinq ans à multiplier le nombre des centres médicaux sur toute l’étendue de son territoire en consacrant un montant élevé à l’enveloppe budgétaire pour arriver à construire jusqu’à environ 5.000 hôpitaux, le Fonds des Nations-Unies pour la Population, Unfpa, estime que l’heure a sonné pour que les pays et les états s’ approprient les plan d’exécutions des stratégies pour le repositionnement de la planification familiale.
le Staff Unfpa répondant aux questions des journalistes CP: Zaïna KereKere |
« Nous savons maintenant ce qu’il faut faire. Nous, Unfpa devons développer des programmes de plaidoyer pour emmener les donateurs internationaux à reconnaître l’urgence qui s’impose dans la planification familiale. Mais nous ne pouvons pas tout faire. Les états ont un rôle à jouer notamment dans le renforcement des systèmes sanitaires et l’amélioration des infrastructures routières en vue de faciliter par exemple, la distribution des médicaments et produits de la santé maternelle dans les coins et recoins de certains territoires enclavés. La société civile aussi a un rôle à jouer. Donc c’est le temps d’agir sur ce qui marche et intervenir avec harmonie car l’Unfpa apporte l’appui technique », a expliqué le Directeur du bureau Sous-régional de l’Unfpa-Sénégal, Faustin Yao.
L’Unfpa a des responsabilités importantes dans la coordination et les réponses à apporter à la planification familiale dans le monde. L’agence du système des Nations-Unies qui a été l’un des acteurs clés dans l’organisation de la conférence note un succès en dépit des quelques défis majeurs auxquels tous les pays sont confrontés.
Des journalistes assistant à a conférence de presse CP: Zaïna KereKere |
« L’Afrique a été souvent jugé et traiter comme un pays. Autrefois, nous avions des difficultés à transmettre le message dur les contraceptifs. Aujourd’hui, nous observons qu’il y’a des résultats positifs, à considérer l’exemple des pays tels que le Niger et le Sénégal qui avaient une image conservatrice liée à la religion et à une tradition au sujet des contraceptions. Un autre pays a se démarqué c’est le Rwanda. C’est pour dire qu’il ya des succès accomplis. Cependant, le vrai problème ce que nous les états ne sont encore parvenus à créer la vitesse de la demande de Planification familiale au niveau des populations », a montré Faustin Yaho.
La responsabilité demeure partagée. Les gouvernements des pays de l’Afrique Subsaharienne sont conviés entre autre identifier minutieusement le besoin en santé de la reproduction et planification familiale des communautés pour des réponses efficaces. Il y ‘a 54 pays de l’Afrique Subsaharienne notamment les pays de l’Afrique de l’Est, Ouest, Centrale et Australe.
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