lundi 11 avril 2011

Au secour ! Le « Coupage » rend misérable le journaliste Congolais

Francis Mwamba est journaliste. Il est le plus chanceux de tous les 32 passagers de seize nationalités différentes qui avaient pris place à bord de l’avion « Fokker 100 UN » de la Mission de l’Onu pour la stabilisation du Congo, Monusco, écsrasé, en morceaux de débris sur l’aéroport international de Nd’jili à Kinshasa. Francis, journaliste indépendant, producteur et présentateur de l’émission « Echos des provinces » sur des chaînes de télevisions privées de Kinshasa demeure l’unique survivant du crash d’avion survenu le 4 Mars 2011.
L’unique rescapé, l’unique victime qui a raté mourir ’’gratuitement’’ –sans indemnisation- puisque n’étant pas un personnel des Nations-Unies. Avant de prendre place à bord de l’avion, il avait signé sur le « Imopi »- document que la Monusco exige une reconnaissance de la mort gratuite en cas d’accident à tous passagers non agent UN- sa pauvre mort sans récompense. Francis est -au regard des autres passagers- le seul passager avec un CV ou palmarès moins éloquent, l’unique à ne pas posséder un compte bancaire ni un salaire…

samedi 9 avril 2011

La Beauté, au fil rouge de l’actualité à New Infini-tif


Le salon est ouvert tous les jours sauf le diamnche. C'est à l'hôtel Memling CP: Jean-Claude Bode
 Heureux qui comme Ulysse…la beauté est un voyage. Le cadre est entièrement dévolu au service du client. «  Le salon de coiffure se veut fidèle à sa clientèle et à l’image de l’hôtel Memling », affirme Modestine Ilunga. Tatouage, massage, relaxation, maquillage, pédicure, soins de mains, esthétique et beauté…l’espace peut recevoir une trentaine de client au même moment. « A New Infini-tif, nous essayons de rester égal à nous même. Nous démontrons un savoir faire artistique lié à notre vision, mais bien aussi à ce que le client souhaite ».      

Modestine Ilunga Awezaï : une gérante de haute volée


Modestine Awezaï: CP:Jean-Claude Bode
 Modestine Ilunga Awezaï fait partie du noyau des femmes qui vont jusqu’au bout de leur rêve. ‘’Le destin reflète toujours ce que l’on souhaite. Je rêvais depuis mon enfance être un jour haut placé dans une société. Ce qui m’étonne, ce que je me retrouve en tête d’un institut de beauté’’. Derrière ce visage au regard pétillant se cache une gérante de haute volée.

samedi 2 avril 2011

Germaine Sharufa donne goût à ses créations

Dans sa parcelle, seuls les échos de la musique jouée  chez les voisins, au gra

Le tissu est le textile Congolais CP: JCB

nd plaisir des passants et de qui veut l’écouter, rappellent que l’on est bel et bien à Matonge-un des quartiers de la ville de Kinshasa le plus bouillant où bât le cœur de la capitale Congolaise-.

Les dessins ou broderies de Sharufa CP: JCB