mardi 10 décembre 2019

Le droit de rendre compte sur la gestion de la RDC toujours bafoué en RDC, selon quelques ongs

Chaque année, les nations célèbrent la Journée des droits de l’homme le 10 décembre, jour anniversaire de l’adoption en 1948 par l’Assemblée générale des Nations Unies de la Déclaration universelle des droits de l’homme, un document fondateur qui a proclamé les droits inaliénables de chaque individu en tant qu’être humain, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. Cette déclaration est la première reconnaissance universelle du fait que les libertés et les droits fondamentaux sont inhérents à tout être humain, qu’ils sont inaliénables et s’appliquent également à tous, que nous sommes tous nés libres et égaux en dignité et en droits. 
Cette année Internews RDC s'est associée au Bureau Conjoint des Nations-Unies pour les droits de l'homme en RDC à la foire provinciale des droits humains. '' Le droit d'accès à l'information'' a été évoqué. Les acteurs de la société civile de la RDC décrient l'abscence de la loi d'accès à l'information en RDC en dépit du nouveau régime mis en place au pays. Les critiques sont à écouter dans l'extrait sonore sur le lien suivant.
L'extrait sonore d'interviews de Paul Nkuadio, spécialiste juridique à Internews, Henri Chrispin Longedja, responsable de l'ong " Le Collectif 24''  et quelques réactions des visiteurs. 

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